A 82 ans, Jean-Pierre Joyeux profite de sa retraite près de Poitiers, mais son histoire est intrinsèquement liée à la région toulousaine, où il a vécu durant la Seconde guerre mondiale. Là où, surtout, son père a été arrêté par la Gestapo puis fusillé sans que personne ne le sache dans le bois de la Reulle, entre Castelmaurou et Gragnague. Jusqu’en 2012, Jean-Pierre Joyeux le pensait mort en déportation. La détermination d’un groupe de recherche a permis de lui rendre son histoire.